mardi 6 décembre 2016

Noir comme le crime.

Parlons aujourd'hui d'un genre cinématographique sombre. Un genre qui nous plonge dans des ruelles sombres et qui cachent des mystère sur un ou des crimes commis. Un genre où la police que nous connaissons n'est pas tout à fait la même. Plongeons-nous dans la ville des crimes : Los Angeles! Parlons du film noir!


Le film noir est le genre de film dans lequel nous allons retrouver la mafia, les gangsters, les endroits les plus sombres d'une ville, des crimes et des pistes pour nous rapprocher du meurtrier. Il y a plusieurs caractéristique qui font d'un film un film noir. Il se peut que dans les caractéristiques que je vais mentionner, tu les reconnaissent dans un film que tu as vu, mais avant de le mettre dans cette catégorie, assure toi bien que ton film comporte TOUS les éléments. Voici «Sin City» le film que je vais prendre en exemple pour vous montrer ce qu'est un film noir.



Sin City, réalisé en 2005 par Frank Miller et Robert Rodriguez. Ce film est l'adaptation cinématographique de la bande-dessiné du même nom créé par Frank Miller. Ce film est un excellent exemple de film noir. En voici des éléments qui lui donne se titre: 

1- La narration : Premier élément pour que se soit un film catégorisé noir, il faut qu'il y ai une narration externe, une voix que l'on entend qui raconte l'histoire. Dans Sin City, plusieurs personnages vont donner leur version. C'est à dire que nous allons voir leur aventure à tour de rôle et ils vont conté leur histoire.
2- Los Angeles : Tous les films noir (ou presque) vont se dérouler à Los Angeles aux États-Unis. Il se peut que se ne soit pas exactement L.A, comme dans ce film justement, mais sinon, la ville va énormément lui ressembler avec ces gigantesque grattes ciel et ces ruelles sombres.
3- Le flic corrompu : Troisième élément, le policier déchu. Le flic qui se fou des règlements et qui veut résoudre l'enquête à sa manière, quitte à violer les lois. Dans Sin City, le policier est accompagner de son collègue. Celui-ci veut appeler les renforts pour venir les aider, mais le flic l'assomme et va régler l'affaire seul. Il en vient à tirer plusieurs coups de feu dans le corps du violeur de petite fille.
4- La femme fatal : Pour qu'un film sois considéré noir, nous devons également y retrouver une «femme fatal», une femme qui fait tomber les hommes sous son charme, mais qui cache un côté sombre, parfois brutal, en elle. Dans ce film je dirais que toute les femmes que nous pouvons retrouver sont fatal car elle sont des putes (pardonnez mon langage) mais elles savent se défendre!
5- Un crime : Évidemment, nous devons retrouver un meurtre qui sera au centre de l'intrigue. Un meurtre qui mènera notre enquêteur à rechercher le prédateur. Parce que c'est quand même un film où il doit y avoir un minimum d'action qui se mélange au film policier. 
6- Ambiance nocturne : L'atmosphère d'un film noir doit peser lourd. Alors quoi de mieux que de nous plonger dans l'obscurité de la nuit pour ressentir une impression de lourdeur hein! Dans Sin City, bien que le film soit en noir et blanc, nous pouvons deviner que TOUT le film se déroule durant la nuit. Non durant la MÊME nuit, mais toutefois pendant que le soleil est couché.
7- La ruelle sombre : Il y aura toujours un moment dans un film noir ou les personnage vont se retrouver dans une ruelle très sombre. Le genre de ruelle où les parents de Bruce Wayne se sont fait tués. Dans le film choisi, des policiers se rendent dans le quartiers des femmes, lieux où les prostitués ont un plein pouvoir. Ces hommes ont le malheur de menacer une femme qui marchais dans une ruelle et ils finissent par mourir. 
8- Bar de danseuses : À un moment dans le film, nous allons nous retrouver dans un bar de danseuse avec le personnage principal. Celui-ci s'y rend dans la majorité du temps pour aller boire plusieurs verre et se morfondre sur son état désespéré. 
9- Manteau de cuir : Il faut que notre inspecteur sois bien habillé voyons!!! Aller donc lui acheter un manteau de cuir. Qu'est-ce qui fait moins inspecteur que ça ? Dans les films noirs, le détective sera souvent habillé d'un manteau de cuir. Dans Sin City, les personnages portent presque tous des manteau de cuir. L'un deux, lorsqu'il en voit un sur un ennemi, vient même à lui dire qu'il aime son manteau, et lorsqu'il le tue, il lui prend.
10- Police corrompu : Dans les films noir, la police sera toujours corrompue. Qu'est-ce que j'entends par corrompue ? Ils seront achetable, ils accepteront de l'argent pour faire comme s'ils n'avaient pas vu le délit commis. 


Critique 

J'ai été un peu ébranlé par le film. C'est à dire que se n'était pas le genre de film que je m'attendais. Oui je savais que se serai un film noir, mais le réalisme n'était aucunement présent. Un  homme pouvait prendre huit balles dans le corps et nous allons le retrouver vivant plus tard dans le film. Ça m'a un peu déçu. Sinon, il y avait quatre histoire en une et, ce n'était pas mélangeant mais on se demandais ce qui advenait des autres lorsque nous suivions l'histoire d'un. C'est un très bon film pour nous montrer ce qu'est le genre de cinéma noir, mais je n'ai pas vraiment accroché sur l'histoire qui était irréaliste et sans réelle sens. 



lundi 5 décembre 2016

Réalisateur hors paire

Des films, des films! Nous parlons souvent des films que nous voyons par leur aspect général, par leurs acteurs et actrices, par leur style, par la critique que nous nous en faisons, mais nous oublions souvent la personne qui est derrière tout ces éléments, la personne qui sans elle, le film ne serai pas. Je parle ici du RÉALISATEUR ! Eh oui ! Le réalisateur est le membre de l'équipe qui dirige tout ce qui se passe sur le plateau, c'est lui qui a eu l'idée d'effectuer ce métrage, court ou long.

Je vais vous présenter, si vous ne le connaissez pas déjà, un réalisateur grandement apprécié dans nos cinéma. Je vous présente.... STEVEN SPIELBERG!!! (la foule est en délire!!)



Steven Spielberg, né le 18 décembre 1949 à Cincinnati dans l'état de l'Ohio, aux États-Unis. 
Si je vous dis «Les dents de la mer» en 1975, «Les aventuriers de l'arche perdue» en 1981 (oui oui, Indianna Jones), «E.T. l'extra-terrestre» en 1982 ou encore «Jurassic Park» en 1993 ou «La liste Schinder» en 1993 ? Vous connaissez surement deux ou trois de ces films. Oh et il y en a bien d'autre aussi. Steven Spielberg est le grand génie derrière ces réalisation cinématographiques grandioses. 

Spielberg est très particulier. Pour tous ses films, il intègre deux effets cinématographique signature. C'est à dire que pou tous longs métrages, nous allons retrouver AU MOINS une fois un regard-champ ET un effet de reflet (vous vous souvenez du langage cinématographique j'espère). Je vais analyser «E.T. l'extra-terrestre» pour vous en donner un exemple. 


Je vais commencer par vous énoncer deux signatures que j'ai pu retrouver dans ce film et par la suite, revenir encore une fois avec 5 techniques cinématographiques (pour nous garder dans le beat).

Signatures

Regard-Champ : Vers la fin du film, quand les enfants vont reconduire E.T à l'endroit où ils avaient envoyer un signal, ils arrivent dans une clairière et une lumière les éblouie. Les jeunes regardent le ciel avec un air épanoui. Le réalisateur nous garde sur notre faim en présentant un par un le regard épanoui des enfants et entre temps, nous montrer une vision d'un semblant de vaisseau caché par les arbres. Finalement, il nous montre le gigantesque vaisseau dans lequel l'extra-terrestre partira.

Effet de reflet : Toujours à la fin du film, lorsque E.T monte dans son vaisseau pour rejoindre sa famille, nous avons droit à un plan d'ensemble du vaisseau qui nous montre le reflet de l'environnement autour de lui. Nous voyons les arbres ainsi que la lune réfléchies sur celui-ci.

Techniques

1- Champ/ Contre-champ : Alors qu'Éliott se promène dans l'obscurité de la nuit pour chercher d'où provient les bruits qu'il entend, il tombe soudainement face à face avec un extra-terrestre. N'étant pas habitué de croisé une créature comme celle-ci tous les jours, il se met à crier de peur et la bestiole fait de même, surprise pas sa réaction. Nous voyons dans cette scène la stupeur des deux personnage une après l'autre avec des plans de champs et contre-champs.
2- Gros plan : E.T se réfugie chez les humains. Pendant ce temps, à l'endroit où se tenait le vaisseau des extra-terrestre, des scientifique rechercher des traces de la créature enfuie. La spécialité est que dans ses scènes, la caméra fait un gros plan à partir de la taille des adultes, donc nous ne voyons pas leur haut de corps.
3- Panoramique circulaire (43:00) : Tout le monde sort de la maison pour se rendre soit à l'école soit à la garderie. Juste avant que la mère ne sorte , elle entend un bruit à l'étage. Elle va voir ce que c'est. Elle entre dans la chambre d'Éliott. Elle ouvre le garde-robe et la caméra fait un panoramique circulaire pour montrer la tête de E.T qui essai de se cacher parmi les toutous. 
4- Scène en parallèle (44:00) : Dans cette séquence, deux scène sont tourner et on nous les montre en parallèle. Dans un premier temps, nous voyons Éliott à l'école dans son cours. Dans l'autre scène nous apercevons E.T à la maison qui découvre les biens humains. Par ces deux présentation, nous pouvons remarquer qu'il existe un lien cérébral étrange entre les deux personnages.
5- Vue d'ensemble (1:05:15) : Ahh. La scène classique du film. Celle où lorsque tu tape «E.T» sur Google te sort immédiatement l'image d'Éliott sur la bicyclette volante obstruant la clarté de cette gigantesque lune. Et bien dans un film, cette image est représentée en une vue d'ensemble.
Critique 

J'avais déjà visionner ce film auparavant dans ma vie quand j'étais plus jeune et c'est pourquoi j'ai voulu le revoir, je ne me rappelais pas de tout exactement et je savais que c'était un film que je devais voir pour ma culture personnelle et j'ai bien fait! Car effectivement, c'est une vrai perle de Spielberg. Il nous présente le film avec comme personnage principal Éliott, alors les jeunes qui l'écoute peuvent se mettre à sa place plus facilement. Même pour un adulte, la relation d'amitié qu'il y a entre l'extra-terrestre et le jeune garçons est fortement ressenti ce qui fait que même les personnes plus âgées peuvent admirer le film. 

 

lundi 7 novembre 2016

Marc Forster !


Marc Forster, célèbre réalisateur cinématographique né en 1969 en Allemagne. En 1990, il va partir étudier le cinéma à New York jusqu'en 1993. Ensuite, il part pour Los Angeles en formation où il se fera remarquer avec son film Loungers. Il a été approcher par le studio Warner pour réaliser le troisième film de Harry Potter!! Malheureusement, il décline l'offre pour se concentre néanmoins à son projet Neverland un de ses plus grands succès. Par la suite, chaque année, il s'emploi à un nouveau film en passant par différents genre cinématographique en passant par la comédie dramatique, à un drame historique.

Ce cinéaste ne vous dit rien ? Voici alors une banque de film sur laquelle il a œuvré et qui vous dirons certainement quelque chose :

- Loungers (1995)
- La somme de toute chose (2000)
- À l'ombre de la haine (2001)
- Neverland (2004)
- Stay (2005)
- L'incroyable destin d'Harold Crick (2006)
- Les cerfs-volants de Kaboul (2007)
- Quantum of Solace (2008)
- Machine Gun (2011)
- World War Z (2013)
- Hand of God (2014-2015)
- All I see is you (2016)



L'Analyse!!!!
Intéressons-nous aujourd’hui à Quantum of Solace.


Il faut savoir que ce film est directement la suite des événements de Casino Royal. Ayant en tête pour seul penser de se venger du Chiffre qui a tué une femme pour qui Bond éprouvait de grands sentiments, il est tout de même envoyer en mission durant laquelle il rencontrera un philanthrope qui a pour but d'interrompre l'accès à l'eau en Bolivie pour ensuite avoir son monopole total et pouvoir vendre son eau très cher.

Vous savez comment j'aime analyser les films, alors observons cette aventure de l'agent 007 avec 5 éléments cinématographiques que nous avons vus récemment :

1- Effet de reflet (1:09) : Au début du film, nous somme mené en plein dans l'action dans une course poursuite entre des agents d'une association criminel et 007. Nous voyons les autos se poursuivre dans un tunnel, un gros plan nous montre l'aile de l'auto de Bond sur lequel nous remarquons très aisément l'effet de reflet, car sur l'auto étincelant, nous apercevons ses poursuivants très proche à l'arrière de lui.
2- Scène en parallèle (10:00) : Dans cette séquence, il y a deux scènes, d'où la technique de «scène en parallèle». Dans un premier temps, nous retrouvons James Bond qui interroge M. White (un homme faisant partie d'une association secrète) en compagnie de M et de quelque autre agents du MI6. D'un autre temps, nous voyons des habitants de Sienne, en Italie, se préparer pour une course de chevaux, autant spectateurs que cavalier. Ces scènes nous sont montrés une par-dessus l'autre, c'est à dire que nous voyons l'interrogatoire et puis ensuite les préparatifs pour finalement revenir à nos agents, et ainsi de suite.
3- Ellipse ( 54:45) : Arrivé en Bolivie avec René, ils rencontre Mlle Fields, envoyer par le MI6 pour renvoyer Bond à Londres. Le départ se fera le lendemain, alors ils décident de se trouver un hôtel pour passer la nuit. Ils entre dans l'hôtel et demande une chambre. L'ellipse se fait au moment où les agents se rendent à leur chambre, car nous les voyons dans le hall d'entré et ensuite, par une traction verticale vers le haut, ils sont rendu à l'étage vers leur chambre.
4- Raccord par analogie (1:35:05) : Après l'explosion de l'hôtel dans lequel se tenaient Green et Medrano pour signer leurs accords, Bond et Camille sortent des débris en feu du bâtiments et aperçoivent Green qui s'enfuit au loin dans les mirages du désert. La caméra fait un bref visuelle vers le soleil du désert pour imprégner sa couleur et ainsi mettre fin à la scène et embarquer sur la suivante par un dégradé de cette même couleur blanche du soleil.
5- Plan d'ensemble (1:36:00) : James, à bord de son véhicule, rejoint Green qui lui avait peine à marcher dans la chaleur du désert. Bond rejoint son ennemi sur le sol et lui dit qu'il l'épargnera et le laissera agonisé dans la chaleur. Il lui donne tout de même une canette d'essence pour lui laissé une infime chance de s'en sortir, encore là. Il rembarque dans son véhicule et s'en va en laissant Green derrière. À ce moment, la caméra recule pour nous montrer un plan d'ensemble nous laissant voir le vaste désert dans lequel le philanthrope y laissera la vie.


Critique!!
Pour commencer, ça faisait un bon bout que je n'avais pas écouter un film de James Bond autant que se soit le dernier qui est sortie (Spectre) que je n'ai pas vue d'ailleurs.... alors je ne comprenais pas trop l'histoire qu'il y avait en rapport avec Casino Royal. Je comprenais qu'il poursuivait un objectif en lien avec le passé, mais ça s'arrêtais là. Cette mission engendre une autre secondaire (qui sera la mission du film). J'ai trouvé cet opus un peu confus... je n'arrivais pas à bien discerner la problématique et la volonté du méchant dans l'histoire jusqu'à la fin ou 007 découvre le barrage dans une crevasse du désert, Peut-être ai-je été inattentif pendant des moments importants... Bref, j'ai aimé que l'on nous mette dans l'action dès le départ, ça captive notre attention. Sur une note de 10, je le placerai à 6.

mercredi 2 novembre 2016

Ce qui rend le cinéma grandiose (partie 2)

Ce qui rend un film incroyable : 
Je vous ai montré plusieurs techniques cinématographiques dernièrement avec Kill Bill, mais ce ne sont pas les seuls. Eh oui, il a encore bien des facteurs que nous n’avons pas traités qui peut grandement influencer la qualité d’un film. Je vais, aujourd’hui, vous présenter d’autres détails qu’il faut prendre soin de bien utilisé et qui rendra le contenu final incroyable. 


Psycho (Psychose)
Le film que j’ai analysé pour vous présenter ces nouveaux éléments du cinéma est Psycho, d’Alfred Hitchcock, mis sur grand écran en 1960.


Résumé :
Secrétaire d’une agence immobilière depuis longtemps, Marion Crane assiste, un matin, à une transaction avec riche homme d’affaires qui vient acheter pour 40 000 dollars. Le patron de Marion lui confie l’argent pour qu’elle aille le déposer à la banque au nom de la compagnie. Ce qui doit arriver arriva; tentée par cette immense somme d’argent, elle s’enfuit avec pour rejoindre son amant. Elle s’arrête une nuit pour se reposer dans un motel et se sera le dernier endroit où elle vivra. Une enquête débutera pour retrouver cette voleuse qui aurait escroqué 40 000 dollars. La sœur et l’amant de Marion se mettront eux aussi à la rechercher de la disparue. Les indices mèneront les personnages à cet étrange motel sur le bord de la route et y trouveront ce qu’ils cherchent, mais pas dans l’état qu’ils auraient souhaité. Ils arrêteront la meurtrière de Marion et l’affaire sera classée.


Techniques utilisées : 
Voici maintenant 8 éléments cinématographiques de notre nouveau lexique :

1— Surimpression (7:04) : le lendemain d’une nuit avec son amant, Marion et Sam se parlent dans leur chambre d’hôtel. Ils discutent de s’en aller les deux ensemble et de vivre leur vie amoureuse au grand jour au lieu de tout le temps se voir en cachette. Lorsque la femme quitte la chambre, l’effet de surimpression fait son œuvre; l’image se dissipe peu à peu en nous laissant voir le décor de la scène suivante pour finalement arrivée à celle-ci bien net.
2— Raccord regard (12:15) : Avant d’aller porter les 40 000 billets à la banque, elle va à son appartement pour faire ses valises. Marion se promène dans sa chambre en prenant des objets qu’elle met dans ses bagages. Elle s’arrête entre deux actions et tourne la tête vers le lit; le plan suivant nous montre l’enveloppe avec l’argent inséré à l’intérieur. Ce plan subjectif agit ici de sorte que nous voyons dans un autre plan ce que l’actrice regarde.
3— Coupure franche (47:40) : Après la discussion avec Norman, le propriétaire du motel, Marion retourne dans sa chambre. Avant d’aller s’étendre dans son lit, elle décide de profiter de la douche. C’est alors qu’une femme étrange entre dans la salle de bain et commence à poignarder celle qui est dans la baignoire. Cette scène comporte une multitude de plans différents séparés par des coupures franches, c’est-à-dire qu’il n’y a pas d’effets spéciaux qui se font entre chaque plan. Ils sont tous insérés dans le montage pour venir couper sec le plan précédent.
4— Raccord par analogie (48:55) : Après le carnage qu’il y a eu dans la salle de bain, nous apercevons le corps sans vie allongé sur le sol. La douche coule toujours, et le réalisateur a fait une scène où l’on voit l’eau qui s’égoutte du bain jusque dans le trou menant vers les égouts. Lorsque l’eau se rend au trou, elle ne tombe pas directement dedans, elle fait un cercle autour de vide pour ensuite s’y plonger. Avec cette scène, Hitchcock l’utilise pour faire un raccord par analogie, c’est-à-dire qu’il utilise la forme de l’eau contournant le trou (ce qui fait un cercle) pour changer tranquillement de plans vers l’œil de la femme étendue qui s’apparente à la même forme.
5— Ellipse (1:04:00) : Après une discussion entre Leila, la sœur de Marion, Sam et l’inspecteur Arbogaste en rapport avec la voleuse, l’inspecteur leur dit qu’il la trouvera, puis il quitte le magasin. Nous le voyons ensuite chercher dans plusieurs hôtels et motels. La scène ne nous montre pas qu’il entre dans les bâtiments, demander des informations, puis quitter le bâtiment à chaque fois. Nous voyons des séquences de surimpression de plan le montrant chercher dans les hôtels, ce qui nous donne notre ellipse, car les plans nous épargnent de nombreuses minutes de blabla et de recherche; le but ultime de l’ellipse.
6— Overhead Shot (1:17:19) : Alors que le détective se rend au motel dans lequel est morte Marion, il n’est pas satisfait des réponses données par Norman, alors il décide de mener son enquête plus loin et d’aller parler à la mère de Normand qui a dit qu’elle était entrée en contact avec la jeune femme. Elle pourra peut-être lui donner plus d’information que son fils. Arbogaste entre alors dans la maison de Normand et monte les escaliers. En haut des marches, nous avons une vue en plongée des escaliers et d’une infime partie de l’étage, mais juste assez pour voir la scène se dérouler, lorsque la mystérieuse femme sort d’une pièce et vient poignarder le détective qui était alors rendu en haut des marches.
7— Scène alternée (1:34:53) : La technique de scène alternée est utilisée pour montrer au spectateur deux scènes différentes dans le but de nous informer de ce qui se passe dans la scène #1 (par exemple) pendant que l’autre scène se fait, mais à des moments différents. Prenons en exemple le film, dans une première scène, il y a Leila qui entre dans la grande maison pour essayer de trouver la mère de Norman. Pendant ce temps, dans l’autre scène, Sam entretien une conversation avec l’hôte pour faire diversion pendant que Leila chercher la dame.
8— Effet de reflet (1:37:40) : À un moment, dans la maison alors que la sœur de Marion fait sa recherchée, elle voit une paire de gants bien placer sur un mobilier. Elle décide de s’en approcher pour mieux voir et lorsqu’elle s’en approche, elle voit une forme humaine dans le miroir poser sur la commode. Elle fait le saut et regarde derrière elle pour s’apercevoir que c’était un autre miroir poser au mur qui avait reflété son reflet dans le premier miroir.





Techniques utilisées #2 : 
Revenons un peu sur des techniques que nous avons vues dans le dernier article qui se retrouve également dans ce film aussi, comme quoi ils sont importants pour faire un bon film.

1— Gros plan (11:18) : Lorsque Marion est chargée d’aller porter 40 000 dollars à la banque, celle-ci se rend à sa demeure avant pour faire ses bagages en prévision de s’enfuir avec l’argent. À plusieurs reprises, la femme regarde le paquet et un gros plan des billets est alors glissé dans le montage pour nous montrer l’emprise que l’argent a sur la femme.
2— Plan rapproché épaule (25:45) : Alors que Marion s’enfuit avec l’argent, elle s’arrête une nuit sur le bord de la route pour dormir. Le lendemain, elle se fait interpeller par un policier qui la trouve louche. Il finit par la laisser partir, mais la suit un moment. Comment pouvons-nous le savoir? Le plan présenté nous montre Marion dans sa voiture, nous la voyons des épaules à la tête (d’où «plan rapproché épaule»). Ça nous permet en même temps de voir dans la vitre arrière de l’auto, la police que suit la dame.
3— Effet de portail (44:38) : Après la discussion entre Marion et Normand, la dame retourne dans sa chambre pour aller se coucher. L’homme reste dans la pièce avec plein d’oiseaux empaillés où il parlait avec la voleuse quelques minutes plus tôt. Il se trouve que la chambre dans laquelle Marion s’est établie était celle tout de suite après la salle étrange des oiseaux. Normand alla alors enlever un tableau qui s’y trouvait, et à l’arrière, il y avait un trou d’où il regarda pour espionner Marion qui se dirigeait dans la douche. Lorsque Normand regarda par le trou, l’effet de portail se fit, c’est-à-dire que le plan affiché était noirci sur les côtés en forme de rond pour faire croire que c’est NOUS qui regardons par le trou.
4— Contre-plongé (1:09:41) : Le détective Arbogaste se rend à l’étrange motel où se trouvait Marion dès jours de cela. Il pose des questions au réceptionniste qui semble un peu dérouté. Arbogaste insiste sur ses détails, et dès que Normand avoua que la femme se trouvait bien ici, il fut nerveux tout le long de l’interrogatoire. Le détective, qui montrait un professionnalisme exceptionnel, se trouvait en position de force et le réalisateur nous l’a montré en mettant la caméra en contre-plongée lorsqu’il y avait des plans de lui dans cette scène.
5— Caméra à l’épaule (1:35:20) : Sam et Leila se rendent, à leur tour au motel. Ils élaborent un plan pour que l’un d’eux puisse entrer et parler à la mère de Normand. C’est la femme qui y va, et lorsque celle-ci se rapproche de l’imposante demeure, nous avons l’aperçu de la vue de l’actrice. C’est-à-dire que lorsqu’elle se rapproche de plus en plus, elle regarde, la maison et le plan qu’on nous montre nous laissent deviner que c’est la vue de la femme, car la caméra bouge en même temps qu’elle.


Critique
Je dois admettre que les effets visuels du film sont remarquables, l’histoire et l’intrigue aussi, mais j’ai moins aimé le jeu d’acteur. Ils avaient l’air «neutres» et lorsqu’ils parlaient, parfois il n’y avait pas d’émotion et leur ton restait monotone. Je suis quand même rester accroché à l’histoire par le suspense qu’Hitchcock a instauré tout au long de l’aventure et le punch à la fin m’a laissé perplexe, un sentiment que j’adore ressentir dans un film de ce genre. Personnellement, je lui donnerais une note de 7/10 pour tous les points que j’ai mentionnés, mais il reste un excellent film suspens de son époque, et un bon film pour notre époque.

lundi 26 septembre 2016

Ce qui rend le cinéma grandiose.

Qu’est-ce qui rend un film incroyable? 
Les acteurs/trices? La qualité de l’image? Les effets sonores? Tout ça mélanger? Vous avez raison. Tous ces éléments font en sorte qu’un film peut être bien fait, mais ce n’est pas tout. Il y a des éléments moins connu du cinéma qui ont un grand impact dans le film : les prises de vue, le cadre, le plan de la scène où même le mouvement de la caméra. Je vais vous faire un exemple avec un film; je vais vous ressortir dix techniques cinématographiques qui ont été utilisées dans cette œuvre et l’ont rendu meilleur.


Kill Bill (Tuer Bill)
Le film que j’ai choisi pour vous démontrer ces aspects cachés du tournage est Kill Bill, Tuer Bill en français. 

Réalisé par Quentin Tarantino, Kill Bill est un film d’action américain séparé en deux volets à cause de sa durée de 4 heures (sorti en 2003 et 2004). 
Résumé
Une organisation secrète nommée Les Vipères Assassines débarque lors d’un mariage et tire sur tout ce qui bouge (façons de dire qu’ils tirent sur tout le monde). La Mariée, qui est enceinte, survit, mais sombre dans un coma qui durera quatre ans. Lors de son réveil, elle n’a qu’un seul but : se VENGER et tuer leur chef BILL. Ancienne membre elle-même des Vipères Assassines, elle se remémore ses assaillants, les traques et les tues, les uns après les autres, sans pitié pour en arriver finalement au boss de l’organisation.


Techniques utilisées
Voici maintenant dix techniques cinématographiques frappantes qui ont été utilisées :

  1. Gros Plan (1 min. 30) : Le gros plan est fixé sur le visage très endommagé (quand je dis «très» c’est raisonnable) d’une femme étendue par terre. Une personne s’approche d’elle et lui nettoie un peu le visage avec une serviette le gros plan est toujours fixé sur cette femme et grâce à ce plan de la caméra, le réalisateur nous permet de voir le nom inscrit sur ce bout de tissu et ainsi savoir que ce nom sera important. C’est : «Bill».
  2. Plan d’ensemble (16 min. 35) : Un désert, quoi de plus isolé et perdu comme emplacement. Le shérif se rend au lieu du crime qui, comme le plan d’ensemble nous permet de voir, est situé en plein désert. C’est à ça que sert cette technique; nous montrer un vaste paysage pour nous permettre de nous imaginer où l’action aura lieu, ou où elle a été. Sans ce plan, nous n’aurions pas su où l’attaque s’est déroulée. 
  3. Split Screen (20 min) : Alors que la femme blessée est inconsciente sur son lit d’hôpital, l’écran se sépare en deux. C’est ce que nous appelons «Split Screen». D’un côté (gauche) nous apercevons l’être dans le coma et de l’autre (droite), une nouvelle actrice qui fait son apparition en sifflant avec un but bien précis. L’effet de split screen ici présent nous montre le contraste que c’est deux personnes ont (immobile/active) et la vulnérabilité que la femme à dans le coma face à l’autre.
  4. Champ-contre-champ (23 min) : Alors que la femme, plein d’ambition, s’apprête à faire ce qu’elle était venue faire dans la chambre d’hôpital, elle à un appel de son chef qui lui donne un autre ordre. La conversation se fait avec une alternance constante de caméra. Ça commence avec la femme qui dit une réplique ensuite nous sommes transportés à l’autre bout du fil qui dit une phrase à son tour et changement de caméra. C’est ce qu’on appelle un champ-contre-champ.
  5. Panorama circulaire (25 min, 16) : Dans cette scène, nous revenons quatre ans plus tard, lorsque la Mariée se réveil de son coma. Pour nous montrer l’endroit où elle se trouve, le réalisateur a fait faire un panorama circulaire. Nous pouvons alors apercevoir qu’elle n’est pas seule dans cette pièce, mais qu’elle est dans un des nombreux lits portants toute une personne dans le coma.
  6. Plongé (41 min. 03) : O-Ren, petite fille qui vient de voir ses parents se faire tués jure de se venger. À onze ans, elle obtient ce qu’elle veut. Elle plante un katana dans le corps de l’homme qui à tué ses parents et la technique de plongé ici nous montre la faiblesse de cet homme face à la jeune fille. En plus que celle-ci en par-dessus lui, la vue en plongé renforce la puissance de la fille ainsi que la vulnérabilité de l’homme.
  7. Vue subjective (56 min. 30) : Black Mamba, la Mariée, se rend à Okinawa, ville au Japon, pour demander à un célèbre forgeron d’avoir un de ses fameux katana. Celui-ci étant retraité accepte quand même malgré son rejet pour refabriquer quelconque arme meurtrière. Alors vient la vue subjective. Nous sommes face à ce forgeron, à la place de la Mariée, qui a fini de forger le katana et le décrit comme étant le meilleur qu’il ait jamais fait. Il nous le présente dans toute sa splendeur. La vue subjective nous permet de voir par les yeux de l’acteur(trice).
  8. Plan Séquence (1 h 11 min 45) : La Mariée est maintenant rendue dans le repaire d’O-Ren, sa cible. Elle se rend aux toilettes et le plan séquence commence ici. Qu’est-ce qu’un plan séquence? C’est lorsque la caméra tourne sans coupure pendant au moins 60 secondes. Dans celle-ci nous voyons la femme se rendre aux toilettes puis, la caméra sort des cabines pour suivre deux employés se rendant dans la salle de réunion de l’assassine toujours sans arrêt, elle suit maintenant l’une des gardes du corps de celle-ci qui se rend aux toilettes et là, la Mariée l’utilise pour son attaque. Bref, le plan séquence est toujours impressionnant, car ce moment a été tourné sans montage pendant 60 secondes et la caméra en mouvement.
  9. Très gros plan (1 h 18 min) : Le très gros plan est utilisé pour avoir une très grosse image de quelque chose comme cela le dit. Par exemple, dans cet extrait le très gros plan est centré sur l’arme que la garde du corps manie. C’est une grosse chaîne en métal fini par un boulet plein de pique. Le très gros plan VEUT nous montrer à quel point cette arme est puissante et imposante.
  10. Contre-Plongé ( 1 h 29 min 10) : La contre-plongée, l’inverse de la plongée, ce qui veut dire que cette méthode veut montrer la puissance que dégage quelqu’un. Dans cette scène, Black Mamba vient de finir le carnage. Elle a tué ou blessé gravement (démembré en fait) les soldats d’O-Ren et se tient debout sure une poutre de l’étage. La contre-plongée met en valeur cette puissance qu’elle dégage.


Appréciation
J’ai entendu parler de ce film dans mon cours d’Esthétique du cinéma et il m’a intéressé. Note professeur nous a ensuite dit qu’il fallait faire un travail sur un film qu’on a vu en cours, j’ai tout de suite pensé à celui-là. Lorsque j’ai vu la pochette, je n’étais plus très sûr de mon choix. Pourquoi? Je ne sais pas, il me semblait vieux et donc inintéressant, mais je me suis rappelé que nous avons écouté des films burlesques des tout premiers temps (sans paroles, en noir et blanc). Alors je me suis dit «Let’s go. Le pire qui peut m’arriver c’est que je ne l’aime pas.» Et, je l’ai adoré. Pour commencer, les films d’action sont mes favoris et â va bien parce qu’il n’y a pas 20 minutes d’écarts entre deux scènes d’actions ce qui m’a gardé captiver tout le long. Ensuite, je suis peut-être weird, mais je trouvais cela vraiment drôle les scènes où il y avait des démembrements, le coup était épique et je crois que le fait que l’éjaculation de sang trop exagérer c’est ce qui me faisait rire. Pour finir, j’ai vraiment hâte de voir le deuxième volet, car il te laisse sur un suspense à la fin. 

lundi 19 septembre 2016

Sherlock Keaton

Sherlock Holmes. Quel détective incroyable n’est-ce pas? Maître du déguisement, scientifique douteux, mais inspecteur hors pair. Parlons un peu de son junior. Sherlock Jr. créé par Buster Keaton, acteur, réalisateur, scénariste et producteur ULTRA populaire de son époque. Pourquoi dis-je de son époque? Parce qu’il appartient aux années 1895-1966. Malgré les ans qui nous séparent de lui, il nous laisse une marque très importante dans le domaine du cinéma, côté comique surtout. Voici quelques longs métrages qu’il réalisa entre 1920-1930 :

  • Ce crétin de Malec (1920)
  • Les Trois Âges (1923)
  • Sherlock Jr. (1924)
  • Le mécano de la «General» (1926)
  • L’Opérateur (1928)
Et plusieurs autres.



Résumé
Un projectionniste de cinéma est amoureux d’une femme. Il va la voir, lui donne une boîte et une bague. Un autre prétendant vient à son tour lui offrant aussi une boîte. Le père de la jeune femme se présente et réalise qu’il s’est fait voler sa montre. Le projectionniste se fait accuser et est mis dehors. Nous le voyons ensuite au cinéma en train de projeter un film et il s’endort pendant la projection, rêvant d’être le meilleur détective au monde. Il est ensuite réveillé par la femme qui vient pardonner l’erreur qu’ils ont commise.


Ce n’est pas qu’un film en noir et blanc sans paroles, c’est aussi un film burlesque. Mais qu’est-ce qui fait de lui un film burlesque? En voici des exemples :

  1. Jeu avec nourriture (10:30) : La fameuse blague de la pelure de banane! Hé oui, même en 1924 elle était présente. Alors que le projectionniste est venu déclarer sa flamme à la dame, un autre homme vient lui aussi, attiré par cette femme. Jaloux de lui, alors que le projectionniste mange une banane, il dépose la pelure par terre et essai de le faire trébucher pour l'humilier, mais l'homme n'est pas dupe. Furieux qu'il soit mis de côté, il se lève brusquement et marche sur la pelure qui le fait tomber.
  2. Chute corporelle (20:02) : Après s'être fait mettre dehors par le père de la femme, nous revoyons le projectionniste dans le cinéma en train de projeter un film. Il s'endort sur le projecteur et nous voyons sont esprit se séparer de son corps et «entrer» dans le film qu’il est en train de projeter. Il fait des mouvement dans la représentation, mais le décors change continuellement alors lorsqu'il fait un mouvement, par exemple qu'il veut plonger dans l'eau le décors se change en un paysage d'hivers donc il plonge dans la neige. 
  3. Arnaqueur arnaqué (33:20) : Le détective sait qui est le voleur, ne manque plus qu'à le piéger. Il se rend dans la demeure des brigands. Il y a le voleur en question accompagné de deux brigands. L'un des acolytes du voleur vole la montre de l'inspecteur, mais celui-ci lui vole la sienne à son tour.
  4. Running Gag (42:55) : Le projectionniste se fait réveiller par la femme qu'il aime. Elle vient lui dire qu'ils, son père et elle, étaient désolé de l'avoir accusé sur un coup de tête et qu'ils ont trouvé le vrai voleur. Réjoui par la nouvelle il tente de montrer son amour à la femme mais ne sait pas comment s'y prendre. Il regarde le film et les personnages dans celui-ci sont dans la même situation, alors il les imite.

Appréciation
Je ne m’attendais pas à cela. Nous sommes habitués de voir des films parlants et en couleurs alors voir ce film fut comme sortir des entiers battus. Je l’ai étonnamment apprécié, car si tu me dis un film en noir et blanc, déjà là je me dis : «Ô boy, c’est vieux ça va être long», et sans paroles non plus... alors là tu m’as perdu. Mais je fus très étonné par les ressemblances de gags que les réalisateurs d’aujourd’hui utilisent provenant de ces films burlesques en noir et blanc sans paroles. Je suis sûre que Sherlock Jr. n’est pas le MEILLEUR film burlesque qui existe, mais il en vaut la peine d’être admirer.

dimanche 4 septembre 2016

Une série télé... WOW !

Hey! Hey!

J’ai fait la découverte, il n’y a pas si longtemps de cela, d’une série télé très particulière et extrêmement populaire. 
Si elle était tant populaire, pourquoi ne l’as-tu pas écoutée avant, me diriez-vous? Parce que je n’en ai pas eu l’opportunité, voilà. 
Pendant un certain temps, mon entourage en parlait fréquemment et ça m’a donné envie de la regarder.
Alors, j’ai pris un gros risque et décidé d’acheter les deux premières saisons sans savoir à quoi m’attendre. J’avais toutefois confiance.

Quelle est cette série!?!? Vous voulez savoir? Bien sûr que vous voulez. Je suis persuadé que la majorité vous l’avez vu, sinon pour les autres ce sera une découverte que je vous conseille FORTEMENT. La voici :


http://lifehacker.com/how-to-host-a-game-of-thrones-fantasy-league-draft-1772576573

 Oui mesdames et messiers,

Games of Thrones, Le trône de fer en français, est une série télé qui réunit l’intrigue, la guerre (à proprement parlé), la trahison, l’amour, les valeurs personnelles et bien plus.

Mon instinct ne s’est pas trompé, j’ai fini la troisième saison récemment et j’en demande encore.
Le jeu d’acteur est stupéfiant, l’histoire est incroyable et les effets spéciaux sont très bien faits. Cœur sensible s’abstenir, car oui, la violence est très présente, nous pouvons voir à mainte reprise des membres tranchés. Le sexe est également présent régulièrement, mais bon... tout le monde à déjà vu un corps humain dénudé, j’imagine. Bref, une fois plongé dans cet univers, vous serez emprisonné par l’intrigue et le suspense que celui-ci apportera.  


Résumé :
Dans une époque médiévale, situées sur les continents fictifs de Westeros et Essos, plusieurs familles nobles entrent dans une guerre civile pour conquérir le Trône de Fer et ainsi contrôler le Royaume des Sept couronnes. Ce qu’il faut savoir c’est que : «l’hiver arrive.» Qui dit hiver, dit Marcheur Blancs, des créatures maléfiques issues du Nord du Mur de Westeros, et surtout, un grand froid à travers tout le continent. Ce n’est pas tout, au Sud d’Essos, une targaryenne essaie de rassembler une armée pour reconquérir ce qui y vient de droit : le Trône de Fer. Voici une bande-annonce de la première saison pour mieux vous visualiser le lieu, l’ambiance et quelques personnages :

https://www.youtube.com/watch?v=aAF12LNAeNI
Un peu plus d’info...

Vous aimerez certains personnages, comme vous en détesterez d’autres. Vous serez choqués par des évènements et en adorerez d’autres, c’est ce qui rend cette série télé si exceptionnelle. Chaque famille a leurs propres valeurs qui les feront avancer dans le jeu du trône. Associez-vous à l’une d’elles selon vos propres valeurs ou simplement pour votre personnage favori. Suspense et Intrigue vous attendent dans cet univers incroyable.
Les cinq premières saisons sont en vente en DVD, la saison 7 sera projetée sur les ondes de HBO, une chaîne télévisée payante anglaise, d’ici Avril-Mai 2017 et la sixième saison sortira en même temps en DVD.